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Bienvenue ! > La graphopédagogie

POURQUOI FAIRE APPEL À LA GRAPHOPÉDAGOGIE ?

 

" Il n’aime pas écrire de toute façon. "

                 " Son écriture n'est pas très lisible..."                  

" Mes professeurs n’arrivent pas à me relire. "

" Je ne veux pas qu’on me regarde en train d’écrire ! " 

" Quand j’écris, j’ai mal au bout d’un moment. "

" Je n’ai pas le temps de finir mes évaluations ! "

" Je n’ose plus remplir de chèque…"

" Ses cahiers sont de véritables torchons ! "

" Les devoirs du soir prennent un temps fou ! "

" Elle n’arrive pas à tout noter en cours. "

" Comme je me dépêche, je fais plein de fautes et en plus j’écris mal ! "

...

 

Chacun de ces cas, sans autre difficulté ou handicap, peut s'avérer être un trouble de l'écriture, ce qui est plus fréquent qu'on ne pourrait le croire. Pour y remédier, la graphopédagogie est la méthode la plus indiquée.

Qui peut faire appel à la graphopédagogie ?

La graphopédagogue s'adresse à tous les publics. À tout âge il est possible de perfectionner son écriture afin de la rendre plus lisible, d'améliorer sa posture afin de ne plus souffrir, d'augmenter sa mémoire de travail afin d'être plus rapide, et tout cela participera à une meilleure estime de soi !

La graphopédagogie avec Lis mon écriture ! c'est quoi, comment ça marche ?

La graphopédagogie est une méthode de rééducation de l'écriture et la graphopédagogue est par essence une rééducatrice de l'écriture car elle travaille l'ensemble de l'écriture, et plus spécifiquement le geste d'écriture. Son approche est technique, centrée sur la tenue du crayon, la posture générale, le mouvement des doigts, le déplacement du poignet - mais elle porte également attention à la lecture et à la compréhension.

Lors de la première séance, elle réalise une anamnèse : elle observe l'écriture du patient, sa posture, sa tenue du crayon, ses stratégies de copie, et elle teste l'intégration de ses réflexes archaïques, présents chez bon nombre de patients et responsables de la plupart des difficultés que le patient rencontre avec l'écriture. Elle restitue alors un bilan oral et écrit qui permettra de personnaliser la rééducation.

La séance suivante est programmée 15 jours après l'anamnèse. La graphopédagogue propose à ce moment-là les premiers exercices, adaptés au cas du patient et futur scribe. Ils ont pour but le plus souvent d'intégrer les réflexes archaïques. Ces exercices doivent être faits quotidiennement ou presque pour que l'entraînement soit efficace. Il en est de même pour les exercices proposés lors des séances suivantes, à 3 semaines / 1mois d'intervalles, et se concentrent alors au fur et à mesure sur la posture, la tenue de crayon, la formation des lettres et enfin sur la stratégie de copie.

L'avantage pour les familles est que la rééducation nécessite beaucoup moins de séances, l'essentiel du travail étant fait à la maison. Une rééducation simple se fait en 6 à 8 séances.

Lorsqu'un élève présente des troubles plus vastes, dus à un handicap (trisomie, autisme, maladie génétique...), à un trouble du comportement ou à des difficultés de concentration, la question peut se poser de l'ordre des priorités. En effet, la graphopédagogie n'est pertinente que si l'enfant comprend l'usage du langage écrit, a une capacité d'attention suffisante pour bénéficier d'un cours particulier qui dure de 45 min à 1 h et manifeste un peu de bonne volonté ou d'intérêt pour ce travail. Dans le cas contraire, il vaut mieux agir en amont et envisager une rééducation de l'écriture plus tard.

Par contre, un élève TSA (autiste), trisomiqueTDAH (troubles de l'attention), HPI (précoce ou haut potentiel) ou autre spécificité pourra pleinement bénéficier de la graphopédagogie s'il accepte la démarche de rééducation et est bien encadré à la maison.

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